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Football
En interview exclusive au Site Officiel, Alan Kennedy, une légende des reds, se rappelle des difficultés imposées par les aigles, demandant du « repsect » aux hommes de Jürgen Klopp.
03 avril 2022, 15h20
Luisão marcou o golo da vitória por 1-0 a 21 de fevereiro de 2006, na primeira mão dos oitavos de final da Liga dos Campeões
Cette perspective vient des temps passés et se profile dans la mémoire de l'ancien athlète, aujourd'hui âgé de 67 ans, soutenue également par ce qu'il a connu du Benfica, quand il a affronté les aigles à quatre reprises, pour les deux éliminatoires de l'ancienne Coupe des Clubs Champions Européens.
« J'ai joué contre Benfica en 1983/84 et 1984/85, j'ai toujours estimé que c'était une équipe difficile à battre. Benfica doit se maintenir dans une forme similaire, même si les joueurs ne sont plus les mêmes. Je la vois toujours comme une équipe qui veut jouer un bon football », a lancé la légende du Liverpool.
La prudence des premiers mots est-elle dissonante de l'idée générale, avant le tirage des quarts de finale de la Ligue des Champions, de dire que le SL Benfica serait l'une des meilleures équipes à affronter, après avoir éliminé l'Ajax ?
« Il n'y a jamais de tirages au sort faciles dans ce genre de compétitions. Il y a toujours beaucoup d'équipes de qualité, et Benfica en fait partie. C'est normal qu'on puisse penser que Liverpool est favori, comme tout le monde, que tout est un peu entre les mains du Liverpool et de la façon dont ils vont jouer. Il y a beaucoup d'équipes de qualité, comme il y en avait il y a 40 ans. Benfica avait de la qualité, et aujourd'hui, il en a aussi. Il faut le respecter », a-t-il renforcé.
« C'est peut-être plus prévisible de jouer contre Benfica que Manchester City ou Bayern Munich, mais Benfica continue d'être une équipe de qualité. Quand j'ai joué, j'ai toujours eu beaucoup de respect pour l'équipe adversaire, même quand nous ne connaissions pas très bien nos adversaires. Mais actuellement, tout le monde connaît toutes les autres équipes, les joueurs adverses, c'est plus simple qu'auparavant », a souligné l'ancien défenseur.
Alan Kennedy était sur le terrain au Estádio da Luz quand, le 7 novembre 1984, Benfica a battu pour la première fois le Liverpool, après cinq défaites en cinq matches, à l'époque par 1-0 (but de Manniche), un résultat qui n'a pas été suffisant pour combler la défaite par 3-1 au match aller de la 2e éliminatoire de la Coupe des Champions Européens.
Mais en 2006, quand les aigles ont remporté les matches des huitièmes de finale de la Ligue des Champions contre les champions européens en titre, l'ancien latéral était dans les tribunes d'Anfield, où il a vu les buts de Simão Sabrosa et de Miccoli.
« Je me souviens de ces matches [disputés en 2006]. Quand on parle du Benfica, je me rappelle de la façon dont ils jouent et dont ils ont joué. Ils ont un bon football »
Alan Kennedy, ancien joueur du Liverpool
« Je me souviens de ces matches [disputés en 2006]. Quand on parle du Benfica, je me rappelle de la façon dont ils jouent et dont ils ont joué. Ils ont un bon football. Si tu travaille, tu obtiens des résultats. Liverpool travaille beaucoup, il a un bon système. Liverpool possède un excellent lot de joueurs, il a juste besoin d'avoir la bonne attitude, celle qu'il a toujours. Si ce n'est pas le cas, Benfica peut passer », a-t-il affirmé, se rappelant des temps de « Bento, Diamantino, Chalana et Nené ».
En reculant aux annés 1980, Alan Kennedy a parlé de son ancien collègue au Liverpool et entraîneur du Benfica (en 1997/98 et 1998/99), Graeme Souness, pour révéler les marques laissés par la passion benfiquista.
« Souness a été entraîneur du Benfica, oui. Ça a été une bonne expérience pour lui. Mais les supporters sont très patriotiques, parfois ils sont plus que patriotiques, ils sont fanatiques, le football est leur monde, et c'est comme ça au Benfica et à Liverpool. Les supporters veulent de la réussite dans toutes les compétitions. Je l'ai vu ! J'y étais ! Ils veulent de la réussite immédiatement, et non dans un ou dix ans ! C'est pour cela que je dis que tout est possible, je ne dis pas que Liverpool va remporter le match par trois ou quatre buts ! Ils doivent faire les choses bien pour continuer dans la compétition », a-t-il souligné.
« Benfica joue toujours pour gagner. En 1983/84, quand nous avons remporté le match à domicile par 1-0, après nous avons gagné à Lisbonne par 1-4, parce que nous avons eu le respect que Benfica méritait »
Alan Kennedy
Alan Kennedy argumente que Liverpool doit jouer à « 110 pour-cent » contre Benfica.
« Les personnes peuvent penser que Liverpool va avoir des facilités, mais on ne doit jamais penser ainsi dans cette compétition, sinon, on court à la défaite ! Il faut bien jouer, ou essayer, dans tous les matches, que ce soit à domicile ou à l'extérieur. [...] Benfica joue toujours pour remporter la victoire. En 1983/84, quand nous avons remporté le match à domicile par 1-0, après nous avons gagné à Lisbonne par 1-4, parce que nous avons eu le respect que Benfica méritait. Il faut jouer à 110 pour-cent ! Jouer à 100 pour-cent ne suffit pas, il en faut plus. Liverpool le sait et joue un bon football. [...] En deux matches, Liverpool est un peu plus fort, mais Benfica est une bonne équipe, et pour moi, ce sera toujours une éliminatoire [très] disputée. [Benfica] Ils ont de bons joueurs », a-t-il souligné.
« Liverpool ne va pas penser au Manchester City. Klopp fait un excellent travail, c'est bon de maintenir l'équipe concentrée et unie. Il ne commet pas beaucoup d'erreurs, Liverpool essaie toujours de faire des choses de façons différentes. [...] Les joueurs veulent être dans les grands matches, ils veulent jouer les matches en Ligue des Champions, les matches contre Manchester City. Ils peuvent de ne pas remporter tous les matches, mais ils prétendent avoir les meilleures opportunités pour remporter le match. Tout le monde veut bien jouer en Europe », a.-t-il rappelé.
« Les joueurs veulent être dans les grands matches, ils veulent jouer les matches en Ligue des Champions, les matches contre Manchester City. Ils peuvent de ne pas remporter tous les matches, mais ils prétendent avoir les meilleures opportunités pour remporter le match. Tout le monde veut bien jouer en Europe »
Alan Kennedy
Texte: Rui Miguel Gomes
Photos: Réseaux Sociaux, Liverpool et Archive SL Benfica
Dernière actualisation: jeudi 21 mars 2024