« Nous sommes concentrés sur la victoire »

Gonçalo Oliveira, défenseur central de Benfica,  voit le groupe de travail « confiant » dans ce qu'il a à faire, rappelant que les aigles « doivent gagner » le match contre Auckland City, pour la deuxième journée du groupe C de la Coupe du Monde des Clubs 2025, comme il l'a dit en zone mixte avant le match, à Orlando.

Quelles sont vos attentes pour ce match contre Auckland City ?

Les attentes pour le match de demain [vendredi] sont bonnes. Nous sommes concentrés sur la victoire, le groupe est soudé et nous sommes confiants de ce que nous allons faire, et ce qui compte, c'est la victoire. 

Y a-t-il cette notion que les buts peuvent faire la différence dans ce groupe et est-ce nécessaire de marquer ? 

Ce qui compte vraiment pour nous, c'est la victoire, jouer un bon match, grandir en tant qu'équipe et être capable de créer plus d'occasions que nous n'avons peut-être pas créées lors du premier match. Et, comme je le disais, ce qui compte vraiment, c'est la victoire. 

La défaite du FC Porto [contre l'Inter Miami] est-elle un sérieux avertissement pour Benfica ? 

Ici, ce qui nous intéresse, c'est notre club, Benfica, le match contre Auckland City, et nous sommes concentrés sur la victoire.

Comment trouvez-vous de la motivation, sachant l'énorme inégalité, en termes de qualité, entre ces deux équipes ? C'est une équipe qui a perdu 10-0 contre le Bayern Munich lors du premier match.

Il faut respecter toutes les équipes qui sont présentes à la Coupe du Monde des Clubs. S'ils sont ici c'est parce qu'ils sont bons, et qu'il faut les respecter, il faut faire ce qu'on a à faire, c'est-à-dire gagner le match, et donc, en ayant nos forces, et ensemble en équipe, on va tout faire pour gagner. 

Comment s'est passée la collaboration avec Otamendi ? Souhaitez-vous que le capitaine reste un an de plus ? 

Cela a été fondamental de travailler avec ces joueurs, des gars que j'ai peut-être suivis quand j'étais plus jeune, et maintenant c'est un rêve pour moi et pour tous les joueurs de la jeunesse qui sont ici. Otamendi et Benfica connaissent l'avenir. 

Comment voyez-vous également cette reconnaissance par l'entraîneur pour les jeunes de l'Académie ? 

Oui, cette reconnaissance, ce travail, c'est toujours bien, mais c'est toujours les pieds sur terre, parce que rien n'est fait. Mais, pour nous, comme je le disais, c'est un rêve d'être déjà ici, et nous devons continuer à travailler pour que, si l'occasion se présente, nous soyons prêts.